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Holly Stone et la malédiction des quatre lunes

8 juin 2011

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A ECOUTER

          Sur ces mots il lâcha le bras de la jeune fille qui ne parût pas convaincue une seule seconde par ses recommandations, puis il ouvrit la porte la lumière du jour s'engouffra dans la pièce. Dehors il faisait beau, le hall donnait sur un parc magnifique verdoyant, au loin on pouvait apercevoir une fontaine tout aussi belle, autour de laquelle quelques personnes semblaient s'amuser. Le grand parc était entouré d'une majestueuse forêt, on aurait presque dit qu'il s'agissait du domaine, appartenant au manoir de Fenella, Holly repensa à ses parties de football avec Carl, et se dit qu'il s'agissait peut être de la partie arrière du domaine qu'elle n'avait pas encore pris le temps de visiter. Wallace s'éloignait déjà vers la fontaine, il paraissait très pressé, Holly tenta de le rattraper, mais la robe que lui avait prêté Roslyn ne l'aidait en rien dans sa course, après avoir relevé cette dernière jusqu'aux genoux elle se mit à courir du plus vite qu'elle pouvait, Roslyn sur ses pas.

 

      Arrivée jusqu'à la fontaine, sa course s'arrêta ,sa curiosité et son étonnement piqués au vif, un groupe de quatre personnes, saluèrent le jeune Wallace d'une révérence distinguée, il y avait deux hommes habillés de la même façon que ce dernier,et les deux femmes qui étaient avec eux portaient de somptueuses robes, on aurait dît qu'ils sortaient tout droit de la cour du roi Soleil. Holly les fixas longuement, la tête lui tournait de nouveau elle regarda le soleil qui frappait très fort cette après-midi là, puis se reconcentra sur le groupe de personnes qui la regardaient,en se demandant si elle devait sombrer dans le déni le plus totale d'une soudaine folie qui s'était emparée d'elle, ou attendre de se réveiller de ce mauvais rêve dans lequel elle était très certainement plongée. Elle poursuivit alors sa route, au fur et à mesure qu'ils traversaient le parc, l'ombre d'un immense château de pierre grise se dessinait à travers la brume épaisse qui recouvrait les jardins. La situation lui échappait complètement, que ce soit un rêve ou non il fallait bien faire quelque chose, elle poursuivit alors la route menée par le jeune homme jusqu'au château sans un mot, tout en essayant de ne pas tomber, en se prenant les pieds dans son costume. Arrivée devant le château, ils empruntèrent une toute petite porte blindée en fer forgée, puis montèrent de nombreux escaliers, traversèrent de nombreux couloirs, au milieu de l'un d'eux Wallace, soucieux de ne plus entendre un mot de la jeune fille se retourna afin de vérifier qu'elle suivait toujours, elle était bien là, livide, observant chaque peinture, chaque dorures, chandeliers et rideau sans un mot, son corps étant là mais son esprit était bien ailleurs. Il regarda de nouveau sa route , qui toucha très vite à sa fin. Lorsqu'ils arrivèrent devant un gigantesque portail en bois massif, attachée par des lames en fer forgé, devant ce dernier se tenait deux gardes, avec chacun une lance à laquelle était accroché un drapeau bien plus grand qu'eux. La voix d' Holly résonna alors dans la salle construite en briques de pierre, « pff c'est la totale, faut vraiment que j'arrête de regarder la télé », Wallace fît signe aux deux gardes de se pousser, ils s’exécutèrent aussitôt , il tira les deux poignées géantes qui retenaient le portail fermé, l'ouvrit à peine et se retourna, « surtout ... » il n'eût pas le temps de finir « oui oui pas un mot ne t'inquiète pas Monseigneur, je capitule c'est toi qui mène le jeu » dit-elle d'un ton résigné avant de pouffer légèrement de rire.

Le portail s'ouvrit alors grand devant elle, la pièce qu'il renfermait se dessina peu à peu sous les yeux de la jeune fille, au fur et à mesure qu'elle avançait. La salle était immense, divisée par de nombreuses voûtes parfois décorées de grands rideaux, le plafond était voûté, on aurait presque cru être à l'intérieur d'une cathédrale gothique, le bruit de leur pas sur le sol dallé de milles couleurs semblait ne jamais se terminer tant l'écho y était important, même la respiration d' Holly qui s’accélérait à mesure qu'elle avançait , pouvait s'entendre à des kilomètres. Quelques personnes accoutrées de la même façon que Wallace et ceux qu'elle avait pu voir dans le parc se tenait là, les observants, Holly n'y prêta pa attention, trop absorbée par la beauté du spectacle, et le magnifique trône qui se présenta à elle lorsqu’elle eût traversé toute la salle. Sur ce trône se tenait, un homme qui devait avoir une soixantaine d'années largement passées, il portait un long pantalon de velours blancs recouvert par des bottes noires qui remontaient jusqu'à ses genoux, le reste de sa tenue était cachée sous une immense cape blanche elle aussi, avec des dessins brodés noirs, il avait une longue barbe qui lui donnait un air sévère et bourrue, il se tenait accoudé sur son siège en dorée et semblait absorbée par ses pensées, lorsqu'il releva les yeux et vît le jeune homme approcher il leva la tête vers celui-ci et souri.

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10 mars 2011

- Et bien selon l'almanach du royaume, nous

 

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- Et bien selon l'almanach du royaume, nous sommes passés, il y a peu en l'an 1880.

Sur cette phrase la jeune fille sentit le sol se dérober sous ses pieds, elle s'agrippa de nouveau au lit à baldaquin. Le jeune homme la rattrapa par le bras, et l'aida à s'asseoir, Holly ne pût s'empêcher de le dévisager longuement. Il se mit alors debout face à elle, et lui dit en lui prenant la main:

- Je m'appelle Wallace Keith Stuart III, prétendant au trône du royaume de Shire Forest et bientôt roi, puis il porta la main de la jeune fille à quelques centimètres de ses lèvres sans la toucher et lorsqu'il fût sur le point de la lui rendre, Holly retira subitement sa main.

- Pitié, ne te donne pas autant de mal, je suis toujours persuadée qu'on me joue un mauvais tour.

Il baissa les yeux vexé par la réaction de la jeune fille, pendant un moment Holly se sentit coupable d'avoir réagit de cette manière. Un sentiment très vite remplacé par la colère lorsque la servante revenue dans la pièce lui remit les vêtements qu'elle avait choisi pour elle.

« Vous croyez vraiment que je vais mettre ça ? Je vais avoir l'air ridicule, il est hors de question que je rentre dans votre jeux, mon dieu mais quel idée d'accepter ce job ridicule je suis tombée dans une maison de fou, mais oui c'est ça doit être ça je voyais bien qu'elle n'était pas très clair, je trouvais ça marrant mais là c'est plus drôle, il faut que je rentre chez moi la plaisanterie à assez durée ».

La servante regarda Wallace, avec désolation : 

- Ce sont les seuls vêtements dont je dispose, Monsieur .

- Et il suffiront bien , Roslyn je vous remercie.

Holly s'adressa à lui, stupéfaite et obstinée:

- Je ne mettrais pas ça !

- Écoutez, c'est juste une question de quelques heures, le temps de regagner vos nouveaux appartements,et de chercher une solution, si on vous voit habillée de la sorte, les gens vont se douter de quelque chose et sa pourrait devenir dangereux. Holly ouvrit grand les yeux, il parcouru la pièce du regard. Dangereux pour nous tous.

- Et bien allons-y maintenant, un danger de mort, surtout n’arrêtez jamais le théâtre vous êtes très bon, allez tant qu'à continuer dans le ridicule de la situation. Sur ses mots elle se résigna et enfila, les vêtements de la servante par dessus sa chemise de nuit, laissant échapper un soupir, et ouvrit la porte en faisant une révérence.

Allons-y sortons, j'ai hâte de voir ce que vous m'avez réservé pour la suite, dit-elle s'esclaffant de plus belle, avant de disparaître dans le couloir.

Ses deux interlocuteurs, se regardèrent surpris, puis Roslyn se poussa du chemin et fît un signe en inclinant la tête en direction du jeune homme qui passa devant elle, et accéléra le pas pour rattraper Holly qui avait déjà atteint l’escalier qui mène à la cuisine.

« Attendez-moi, enfin, vous ne connaissez pas le chemin, c'est absurde vous ne pouvez pas vous baladez comme ça, vous aller vous perdre », la voix de Wallace résonnait dans l'escalier de pierre, mais Holly n'écoutait, elle fonçait droit vers la cuisine, tout en imitant les expressions du jeune homme « attendez blablabla nan mais pour qui il se prend celui là je... », elle ne termina pas sa phrase, trop absorbée à contempler la pièce. Elle n'avait pas remarquer qu'il y avait autant de portes dans celle-ci, laquelle prendre?

Wallace et Roslyn arrivèrent essoufflés dans la cuisine.

- Je vous avez prévenu, il est impossible de s'y retrouvé si on y a pas vécu. Suivez moi.

Il se dirigea vers une porte.

-Non moi je prend celle-ci.

Elle se dirigea vers la porte en face,et tira la poignée mais celle-ci resta fermée.

- Suivez moi par là !

- Mais pourquoi le ferais-je, MONSIEUR ?dit-elle avec un sourire intentionnellement exagérée.

- Parce que c'est un ordre.

Cette phrase mis fin à la petite scènette à laquelle Holly s'adonnait, dans le coin de la pièce Roslyn se mordit la lèvre inférieur pour ne pas rire et baissa les yeux. Wallace tira la poignée et disparu dans l'embrasure de la porte, Holly tourna la tête vers Roslyn qui ne lui répondit qu'en haussant les épaules. Résignée, mais toujours énervée elle suivit le jeune homme en marmonnant quelques mots de rage.

 

Le couloir était sombre, parfois éclairé par quelques chandeliers ancestraux, à leurs vues Holly leva les yeux au ciel, puis Wallace s'arrêta dans un petit hall, qui ne contenait qu'une seule porte de sortie, Holly détailla la pièce: des chandeliers accrochés au murs, une table en bois massifs ornées de dorures, sur lesquelles reposait un magnifique vase en porcelaine et un lustre géant la jeune fille siffla : « Et bien ils ont pas lésiné sur la déco, bravo gros moyens » dit-elle adressant un clin d’œil à Roslyn qui murmura « Mademoiselle, il ne faut pas faire ça , ça n'est pas poli devant le prince ». Holly adressa de nouveau un clin d’œil à son interlocutrice, «  ah oui, pardon j'avais oublié, elle regarda le jeune home et fît de grand geste avec un sourire amusé , Priiiiiiiince WALLACE s'exclama-t-elle avant de partir dans un fou rire nerveux et incontrôlé.

Ce dernier, sans doute vexé, paru excédé un moment puis repris son calme.

- Écoutez, cette situation ne m'amuse en rien, je doit régler le problème et il n'y à que mon père qui soit et courant et qui peut m'aider , j'ai besoin de retrouver Fenella et vous aussi visiblement.

- Ah non, moi je ne veut plus rien avoir à faire avec elle, je ne supporte pas qu'on se moque de moi. Dit-elle dans toutes les directions, pensant sans doute à quelques caméra cachées dans la pièce.

Wallace et Roslyn fixèrent les mêmes endroits des yeux et se regardèrent incompris.

 

- Suivez moi, mon père va arranger tout ça, j'en suis sûr. Faîtes ce que je vous dît et surtout, il lui prît le bras, surtout ne dîtes rien.

4 mars 2011

suite

 chap3

Holly resta muette pendant un moment puis, brisa le silence qui régnait dans la pièce en éclatant de rire.

« D'accord c'est bon j'ai compris, aller Holly maintenant concentre toi tu va y arriver, tu va te réveiller ».

Elle attendit un moment , puis rien , elle se pinça même le bras mais toujours rien. Elle reposa alors son regard sur la personne qui se tenait en face d'elle. C'était visiblement un jeune homme du même âge qu'elle, sauf que celui-ci était habillé bien différemment des autres garçons de son entourage.

En effet il portait une chemise blanche avec des manches laissant apparaître un col bouffant qui dépassait d'un gilet noir donc les contour était brodée au fil dorée, ce qui put paraître un peu excentrique certes mais passe encore, si seulement il n'était pas vêtue d'un corsaire de satin noir passé par dessus des collants de la même couleur,d'une veste en cuir noir qui lui descendait jusqu'à mi-mollets, et des petites bottines à talonnettes noir . Il restait là, ses cheveux châtains clair ébouriffés lui tombant sur le visage, la fixant de ses yeux vert, Holly estomaquée resta elle aussi de marbre, puis mit fin au silence au bout de quelques minutes:

- Mais c'est quoi cette mauvaise blague? Vous êtes qui Messire Montmirail.

Le jeune homme ouvrit grand les yeux puis après s'être éclaircit la voix s'avança doucement.

- Fenella, je

- Je ne suis pas Fennella ! Je m’appelle Holly Stone vous le savez très bien, arrêtez ce cirque ridicule maintenant ce n'est plus drôle.

Le jeune homme et la servante se regardèrent.

 

- Je suis terriblement désolé,j'ai dû faire une erreur quelque part j'avais demandé l'aide Fenella Clifford , qui était autrefois une bonne amie de mon père. C'est lui qui m'a mis au courant pour le miroir, j'ai pourtant écouté toutes les recommandations mais pourtant vous êtes là, et pas Fenella, c'est terrible je ne sais que faire.

- Comment ça c'est terrible, qu'est ce qui c'est passée avec le miroir?

- A l'arrivée de la pleine lune, en parsemant le sol de sel et de terre, le miroir entouré de bougies et de fumoir,après avoir récité la phrase, elle devait pouvoir traversé le passage et me rejoindre. Pourtant tout semble avoir fonctionné sauf que … vous n'êtes pas Fenella.

 

Holly resta muette, puis elle porta ses mains sur son front, la tête lui tournait de nouveau, emportée par un nouveau vertige elle bascula sur le lit et se rattrapa d'une main. Le jeune homme accouru jusqu'à elle, lui prit les deux mains et la releva assise sur le lit.

- Alors toi le comte machin , ne me touche pas, tu te crois drôle avec tes histoires , tu t'imagine que je vais gober tout ça.

Elle se releva d'un bon et fixa la servante, en y repensant elle aussi était habillée d'une façon peu ordinaire avec sa robe beige en haillons, puis son regard se porta sur la porte derrière la jeune femme, ornée de dorures, tout comme le lit et les autres meubles ils ne semblaient pas très modernes même pour un manoir Écossais, ils étaient bien plus vieux que cela, puis son regard se stoppa. Avec tout ses évènements elle n'avait même pas pris le temps, de s'habiller, elle observa son reflet dans le miroir, elle aussi était vêtue de façon étrange et surtout très légère, trop légère à son goût, elle s'avança vers le miroir et tira sur la bretelles blanche en dentelle de la longue chemise de nuit beige transparente et bouffante qui retombait jusqu'à ses pieds.

- Oh la la on dirait ma grand mère !

Tout en essayant d'ajuster la robe de chambre tant bien que mal, elle fixa sa poitrine, la nuisette était certes loin d'être séduisante seulement, elle était extrêmement décolletée elle senti le rouge lui monté au joues et resserra ses mains devant sa poitrine découverte pour la cacher un maximum et se retourna vivement. Le jeune qui avait observé la scène se releva d'un bond, passa la main derrière ses cheveux, et dit en fixant le sol:

 

- Je vais vous faire portez de quoi vous habiller, sur ses mots il fît un signe à la servante qui quitta aussitôt la pièce.

Holly resta seule face au jeune homme, secoua la tête et pris une profonde respiration:

 

- Je...euh... comment vous appelez vous?

- Je me prénomme

- Non attendez dîtes moi plutôt, elle soupira un instant et leva les yeux au ciel je n'arrive pas à croire que je vais demander ça ,après un long moment d’hésitation elle continua, en quel année sommes nous?

 

  • Alors à votre avis en quel année se retrouve notre héroïne ? Va t-elle se réveillée ? où est ce la réalité?
2 mars 2011

chapitre 3 suite :Un rêve étrange

 

    

chap3

        

                         


      Lorsqu'elle ouvrît les yeux, Holly était toute transpirante elle se frotta le front, la douleur avait disparue, elle observa ses mains moites, elle avait si chaud qu'elle repoussa les draps d'un geste vif. Elle se tenait assise en plein milieu du lit complètement abasourdie. La maison était calme, les rayons du soleil accentuaient la chaleur avait rougit son visage, elle s'essuya le front une nouvelle fois, jamais un rêve ne l'avais mis dans un état pareil, dans un effort qui lui parût surhumain elle tenta de se lever mais la tête lui tourna légèrement, elle se rassit sur le lit.

  Quelqu'un entra dans la chambre,c'était une femme apparemment d'une trentaine d'année les cheveux accrochés en chignon et une robe que même sa grand-mère aurait trouver démodé, à cette réflexion Holly sourit discrètement. La femme qui tenait une bassine d'eau en porcelaine et une éponge mouillée s'écria:

 

- Oh mademoiselle, enfin vous êtes réveillée si vous saviez comme vous nous avez fait peur cette nuit. Dit-elle arrachant les draps du lit.

Holly regardait avec surprise la femme qui s'activait avec ses draps, cela devait être la fameuse femme de chambre dont Fenella lui avait parlée.

- Mais alors je n'ai pas rêvé hier , je me suis vraiment évanouie ?

- Ah pour ça oui, et vous être restée sans connaissance depuis deux jours, elle déposa le récipient sur le lit et s'approcha de la jeune fille, et lui tapota le front avec une éponge mouillée puis elle se dirigea vers la porte. Je vais prévenir Monsieur que vous êtes réveillée, il va surement être très soulagé, le pauvre il ne dort pas depuis deux jours.

     Pauvre petit Carl il avait dû avoir la peur de sa vie, Holly se sentit coupable d'avoir laisser sa curiosité prendre le dessus et de l'avoir laissé entrer dans la pièce sans lui prêter attention.

     Elle se leva alors pour prendre quelques affaires dans son armoire, lorsqu'elle s'aperçut que celle ci n'était plus là, elle s'arrêta net puis regarda autour d'elle.

      La fenêtre aussi avait changé d'emplacement, et le tulle qui recouvrait son lit à baldaquin n'était plus rose mais jaune. Enfait ce n'était pas sa chambre du tout, le manoir de Fenella disposait-il d'une autre chambre dont elle ne soupçonnait pas l'existence?

     Prise au dépourvu elle ouvrit la porte, et tomba sur un long couloir au mur recouverts de pierre. Un peu paniquée elle accéléra le pas, des portes se tenait de part et d'autre du couloir l'une d'elle s'ouvrit subitement et deux jeunes filles vêtue du même accoutrement que la femme de chambre en sortirent et fixèrent Holly avec un regard intrigué, elles l'a dévisagèrent longuement. En poursuivant son chemin elle descendit un escalier qui déboucha sur une cuisine à l'aspect étrange, en effet les murs était parsemés de briques de pierres, les étagères étaient de simple planches de bois accrochées aux murs ou reposaient des casseroles et récipient en cuivre abîmés, et la gazinière en fer forgé semblait sortir tout droit de la maison de la famille Ingalls. Une nouvelle servante entra dans la pièce, elle laissa tomber le plat en porcelaine qu'elle tenait dans la main en apercevant Holly , puis partît en courant dans l'escalier.

- Attendez , excusez moi je....

Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase que la femme qui était à son réveil apparût en haut de l'escalier, elle dévala les marches quatre à quatre et pris la jeune fille par le bras.

- Non non Mademoiselle, vous ne pouvez pas vous montrez, pas comme ça il faut vous cacher jusqu'à l'arrivé de Monsieur.

- Monsieur ? C'est un peu étrange pour un enfant de 8ans non?

- Monsieur Wallace est dans sa dix-septième année mademoiselle, vous devez avoir une notion différente dans votre temps, si vous voyez ce que je veux dire, elle lui donna un léger coup de coude.

- Wallace? Mais qui est Wallace? Et où suis-je ? Cette partie du manoir m'est complètement inconnue, où est Fenella?

- Mais enfin c'est vous ?

- Excusez moi?

- Vous êtes bien Fenella Clifford ?

- Bien sûr que non, mais qu'est ce qui se passe ici ?

 

La servante l'attrapa par le bras, complètement abasourdie la jeune fille se laissa reconduire jusqu'à la chambre où elle s'était réveillée. Arrivée à destination, la servante referma la porte et chuchota le dos appuyé contre celle-ci:

 

- Vous n'êtes pas Fenella Clifford, sœur de Cassandra vivant autrefois au château de Shire Forest?

- Quel château? Vous délirez? Fenella est en quelque sorte ma patronne ça n'est pas moi, vous faites erreur, comment est ce que j'ai attiré ici et où suis-je?

La femme, mit sa main devant sa bouche dans un geste de panique, elle fît signe à Holly d'attendre un moment, puis ressorti de la chambre.

« Sois je dors encore, sois-je deviens complètement dingue » se dit la jeune fille , en observant de nouveau la pièce. En y regardant de plus près, elle était vraiment sublime le bois du lit était recouvert de peinture dorée, et les rideaux avec des motifs certes un peu vieux semblaient brodées à la mains avec des milliers de fils colorés, la porte d'entrée en bois massif était ornées de gravures qui semblaient dessiner des lettres, mais elle n'eut pas le temps de les déchiffrés, car celle-ci s'ouvrit avec fracas laissant apparaître un spectacle stupéfiant.

 

Qu'est ce qui se trouve derrière la porte? la suite dans deux jours ^^

25 février 2011

Chapitre 3 : à travers le miroir

 

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                                                              A ECOUTER

 

        Cela faisait déjà deux semaines que la jeune fille était au manoir, elle connaissait les faits et gestes pour calmer les enfants et se faire obéir. Mais cette nuit là, les pleures du petit Carl était beaucoup plus forts que d'habitude, Holly attendait toujours quelques minutes espérant que le jeune garçon reprendrait ses esprits et se replongerait calmement dans un profond sommeil, ce qui arriva au plus grand étonnement de sa baby-sitter, cette dernière tenta alors de retrouver le sommeil lorsqu'une forte odeur d'encens envahit la pièce. Elle se rua dans le couloir ,cela devenait insupportable chaque nuit cela lui causait de violentes migraines. Elle sortit dans le couloir, des émanations de fumée provenaient de la pièce où se trouvait le vitrail et le miroir. Alors qu'elle s'avançait dans le couloir, des notes de musiques retentirent dans la même pièce, un fait pour le moins surprenant, étant donné qu'elle n'y avait vu aucun instrument de musique. Lorsqu'elle entra dans la pièce, Holly trouva la source de son mal de tête, en effet quelques cônes d'encens étaient posés par ci, par là sur les meubles, ainsi que plusieurs bougies. Quelque chose lui chatouilla les orteils, elle souleva son pied dont la plante était recouverte de sel , en effet il y en avait un peu partout sur sol, elle releva la tête cherchant le piano qu'elle avait du manquer la dernière fois , mais rien, il n'y avait que le miroir recouvert cette fois-ci recouvert d'un drap blanc. Tout cela paraissait vraiment bizarre . D'une nature imaginative plusieurs hypothèses de tous genre traversèrent l'esprit de la jeune fille, qui secoua la tête comme pour reprendre ses esprits. Une chose était sûr tout ce désordre était pour le moins étrange. Du sel , des bougies, de l'encens et pas de piano et d'ailleurs plus de musique, elle aurait pourtant jurée que cela provenait de cette pièce. Elle s'avança alors vers le miroir , et sursauta lorsqu'un cri vînt rompre le silence qui avait envahit de nouveau le manoir, après une brève hésitation elle se précipita vers la chambre de Carl qui semblait avoir entamé une bataille enragée avec sa couette. Elle le secoua légèrement, puis tenta de le démêler de toutes ses peluches qui recouvrait son lit. Il ouvrit lentement les yeux et semblait ne pas savoir où il était, elle le rassura rapidement et lui promis de rester à côté de lui jusqu'à ce qu'il se rendorme.

      Assise dans le noir Holly réfléchissait calmement tout en écoutant la respiration du petit garçon lentement se régularisée, mais qui fût de courte durée . Alors que l'horloge sonnait les douze coup de minuit, un nouveau courant d'air glaciale, fît claquer la porte de la chambre, réveillant de nouveau Carl en sursaut, paralysé par la peur ce dernier s'agrippa au bras de la jeune fille encore assise sur le rebord de son lit.

- Bon cette fois ça suffit, qu'est ce qui se passe dans cette maison ?

Elle se leva d'un bond, mais fût retenue par un Carl pétrifié, qui se cramponnait à son bras.

- Mais enfin calme toi, recouche toi calmement ce n'est que le vent, je vais refermer la porte je reviens.

- Ca ne serts à rien ! ça ne s'arrêtera pas ça ne s'arrête jamais...

- Mais qu'est ce que tu raconte?

- C'est la maison de mamie, elle est hantée

Holly se mit à rire, et un nouveau claquement de porte se fît entendre.

 

- Mais enfin ça ne va pas s'arrêter tout se boucan

- Non je te l'ai dit, c'est mamie elle à fait quelque chose de mal.

Holly leva les yeux au ciel en signe d'agacement et après avoir bordé un Carl, mort de peur elle sortit de la chambre bien décidée à mettre fin à se ballet incessant.

 

      Au fond du couloir la porte de la pièce au miroir claquait de plus en plus fort, le bruit du vent qui s'engouffrait dans le manoir résonnait comme un cri effrayant dans ce long corridor, qui lui parût se rallonger à l'infini, elle ralentissait le rythme de ses pas au fur et à mesure qu'elle s'approchait de la porte battante. L'air était glaciale et la nuit de plus en plus sombre.

    Elle poussa lentement la porte, et entra dans la pièce, à ce moment là un frisson parcouru le long de sa colonne vertébrale, Holly se retourna vivement, elle laissa échapper un cri.

 

                 - Oh mon dieu ! Carl mais tu m'as fait peur, qu'est ce que tu fais là ? Retourne te coucher.

- Non j'ai trop peur tout seul !

Sur ces mots, il sauta dans ses bras, et se cramponna à son cou.

- Mais enfin arrête un peu ce n'es qu'un courant d'air, causé par une petite tempête.

- Mais il ne pleut pas

     C'était bien vrai , dehors le ciel était éclairci, on pouvait même apercevoir les étoiles, et pas un brin de vent, pas une goutte de pluie, pas même un nuage dans le ciel , tel que la lumière qui émanait de la pleine lune de cette nuit là se reflétait dans le vitrail qui inondait la pièce de mille couleurs accompagnée de la fumée provoquée par les dizaines de cônes d'encens posés de part et d'autre de la pièce amplifiant la migraine d' Holly, qui plissa les yeux tant la douleur se fît forte. Le drap qui recouvrait le miroir ne résista pas au souffle d'air glaciale qui parcourait la pièce et se faisait de plus en plus violent,le jeux de lumière qui dansait dans le reflet du miroir paraissait presque irréel, Holly s'approcha, l'air était si froid qu'un nuage de fumée s'échappa de sa gorge lorsqu'elle s'exprima:

 

- S'est quand même dingue on dirait un, tourbillon de couleur je ne vois même pas mon reflet.

       Elle avança sa main, vers le miroir que le vent faisait se balancer de plus en plus dangereusement, le bruit était de plus en plus assourdissant,elle entendit à peine la voix du petit garçon derrière elle qui l'appelait pour qu'elle revienne vers lui, la douleur à la tête devenait insupportable sa vue se brouillai, le tourbillon de couleur dans le miroir sembla se jeter sur elle. Elle sursauta , sentant quelque chose au contact de sa main, qui certainement dû à son malaise grandissant semblait avoir disparu dans le miroir,seulement avec un peu plus de concentration Holly cru apercevoir une silhouette qui se mouvait dans le miroir, qui basculait toujours.

 

- Je vais chercher mamie cria une petite voix apeurée qui s'avança derrière elle.

- Recule toi Carl ça deviens dangereux.

 

    La silhouette à travers le miroir devenait de plus en plus visible, elle pouvait presque distinguer un homme qui lui tendait le bras, « je croit que je me sent vraiment pas bien » soupira-t-elle, le miroir bascula de nouveau, mais la jeune fille n'eut pas le temps de reculer, la douleur la paralysait presque entièrement, la pièce entière semblait tournée autour d'elle, le miroir se renversa sur elle, d'un geste vif elle se protégea le visage, tendant les deux bras vers l'avant qui semblaient être passés au travers du miroir, dans un dernier souffle tout devînt noir elle perdît connaissance.

 

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24 février 2011

Chapitre 2: Un drôle de présentiment

 

encens

 

Découvrez la playlist holly stone avec Danny Elfman

  La pièce était sombre, avec pour seule fenêtre un énorme vitrail, comme on en voit souvent dans les cathédrales, il représentait quelque chose mais elle n'eut pas le temps de le détailler, eunelle sentit main se pose sur son épaule, elle sursauta:

- Oh mon dieu! Fenella vous m'avez fait une de ces peurs.

- Tu t'attendais à quoi un fantôme ?, c'est unmanoir pas une maison hantée, qu'est ce que tu fais ici une petite visite nocturne? dit-elle en souriant.

- Non je suis désolé je ne voulais pas fouiner ,mais j'ai sentis un courant d'air j'ai cru qu'une fenêtre était restée ouverte, elle réfléchit un instant puis continua avec suspicion. Ce qui est bizarre d'ailleurs puisqu'il n'y à pas de fenêtre à part ce grand vitrail, qu'est ce que c'est d'ailleurs c'est magnifique?

- Oh ça? Je ne sais pas lorsque je me suis installée avec mon mari c'était déjà en cet état, on dirait que ça représente une reine dans son château.

- Oui enfin je dirait plutôt la méchante de blanche neige dans son miroir tu trouve pas?

- Vous les jeunes et votre culture à l'Américaine, aller zou! Retourne te coucher demain j'ai beaucoup de travaille pour toi.

- D'accord, oh et vous jouez très bien tu piano.

Holly quitte la pièce en direction de sa chambre.

    Fenella scruta la pièce avec inquiétude puis s'exclama « tu pourrais attendre un peu ! » en fixant la pièce vide, puis quitte la pièce précipitamment. Holly qui n'avait pas complètement traversée le couloir avait entendu, elle releva un sourcil d'étonnement et poursuivit son chemin.

    Les premiers rayons du soleil entraient tranquillement dans sa chambre, Holly fixa le plafond les yeux grands ouverts, elle avait eu du mal à s'endormir tant l'odeur de l'encens imprégnée sur ses vêtements lui était montée à la tête, de plus Karl avait dû faire des cauchemars, il avait pleuré et hurlé toute la nuit. Comme il était encore tôt, elle attendit calmement d'entendre du bruit dans la maison pour pouvoir se lever, les craquements sur le parquet en bois ne tardèrent pas à se faire entendre.

    Holly revêtit un survêtement de velours noir et descendit jusqu'à la cuisine, mais pourtant personne n'était au alentour. Elle pensa alors à faire bonne impression pour son premier jour, et après avoir fouillé dans tous les placards, elle prépara le petit déjeuner pour les enfants.

      L'odeur du bacon et des oeufs brouillés avaient attirés nos deux petites têtes brunes, jusqu'à la cuisine, ils se mirent à table encore à moitié endormis, Holly caressa doucement les cheveux du petit garçon et recoiffa sa sœur avec tendresse, puis leur servis le petit déjeuner, le repas se passa en silence, quand ils eurent finis les enfants laissèrent Holly débarrasser la table puis chacun retourna dans sa chambre pour prendre une douche et se préparer.

Dans la salle de bain Holly, se regardait dans le miroir , hésitant entre laisser ses cheveux lâchés ou les relevés légèrement avec une pince, elle reposa cette dernière sur l'évier.

« Arf il n'y a personne à impressionner dans ce patelin » se dit-elle lorsque soudain, elle entendait quelqu'un parler en bas :

- Entrez M . Smith ne rester pas dehors, elle est au premier étage je vais la cherchez.

 

     Holly ouvrit grand les yeux puis reprit la pince à cheveux pour relever ses derniers en chignon, elle replaça quelques mèches derrières ses oreilles et se passa le visage sous l'eau, peu importe qui c'était il fallait être présentable. Elle ouvrit la porte de la salle de bains prête à affronter l'inconnu, puis fixa Fenella qui s'avançait vers elle , celle-ci se contenta d'un « bonjour, comment va tu? Bien dormi? » joviale envers la jeune fille puis toqua à la porte de la chambre de Sandy.

- Sandy c'est pour toi , ton prof de musique est arrivé ne le fait pas attendre ce n'est pas poli.

Elle revint vers Holly.

- Tu devrais emmener Carl jouer au jardin, pendant sa leçon de piano sinon il risque de courir autour de sa sœur et d'être rapidement insupportable.

La jeune fille obéit et pris le petit garçon par la main et ils se dirigèrent vers le jardin immense du manoir.

    Holly et Carl s'amusèrent à se courir après, puis après une balade près du ruisseau, Carl proposa à Holly un partie de son jeux de ballon préféré ,c'est à dire le football, lorsque le son du piano ne se fît plus entendre, ils regagnèrent le manoir il était l'heure de manger. Le repas était déjà près et la table mise, Sandy et Carl se jetèrent sur la nourriture. Holly remarqua qu'aucune vaisselle n'avait été dérangée, pas même une casserole.

- Fenella c'est toi qui nous a fait à manger?

Les deux enfants se mirent à rire.

- Moi? Je ne saurais même pas faire cuire une omelette , non non c'est Sophie ma servante qui s'occupe des repas ne t'inquiète pas pour ça, mais je te remercie pour le petit déjeuner que tu as préparé ce matin c'était très gentil de ta part.

Holly parût étonnée, en effet elle avait beau n'être là que depuis la vieille, elle n'avait jamais aperçu de gouvernante, ni même le gendre qui avait déposé les valises sur son lit.

- Vous remercierez votre gendre, pour mes valises.

- Hein?... ah euh oui oui bien sûr

- C'est quoi un gendre mamie?

   La vieille dame ne prêta pas attention à la question de Sandy, et parti au premier étage, la petite fille ne poursuivit pas sa requête. Holly resta seule avec les enfants.

   L'après-midi, se passa rapidement, elle emmena les enfants en balade, puis après être passée à la douche, ils se mirent tranquillement devant la télé. Holly en profita pour donner de ses nouvelles à ses parents et passer un coup de fil à sa meilleure amie qui la questionna pendant de longues minutes:

- Alors tu as rencontré des gens intéressants ?

- Non pas vraiment, il n'y à pas grand monde ici et puis je viens d'arriver

- Ah.... qu'est ce qu'il y a je te sent déçue?

- C'est pas vraiment ça je ne m'attendais pas à ce genre d'ambiance, je trouve que la maison cache quelque chose de bizarre et puis Fenella n'est pas si accueillante qu'elle le laissait paraître, j'ai passé la journée seule avec les enfants, on ne ma présenté aucune autre personne de mon âge j'ai peur de m'ennuyer assez vite.

- Mais non ne t'inquiète pas ce n'est que le début, crois moi tu es mieux là où tu est que dans le métro comme ici , dans la chaleur étouffante à courir dans les bureaux comme si on était à leur disposition. D'ailleurs je dois te laisser je dois courir après mon train. Bisous on se rappelle très vite prend soin de toi.

Elle raccrocha, et resta seule dans la pénombre de sa chambre.

 

     Les journées se passèrent ainsi, et se ressemblaient, Holly passait ses journées avec les deux enfants avec qui elles s'entendaient de mieux en mieux, de toute façon il valait mieux ils était son seul contact sociale de la journée, de temps en temps elle discutait avec monsieur Smith le professeur de musique, mais son accent Écossais très prononcé le rendait difficile à comprendre, honteuse de le faire répéter ,elle coupait souvent cour à la conversation. Fenella paraissait très occupée parfois même on ne l'apercevait pas de la journée, pourtant elle devait bien être dans sa chambre car les odeurs d'encens se faisait de plus en plus forte dans le couloir du premier étage. Seule les nuits était de plus en plus agitées, le petit Karl faisait de plus en plus de cauchemars la nuit et Holly était obligée de se relever plusieurs fois pour le calmer et l'aider à se rendormir.

 

21 février 2011

chapitre 1 suite

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- Oh mince j'ai encore calé, bon c'est pas grave de toute façon, on ne peut pas aller plus loin en voiture, nous gagnerons le manoir à pied, ça paraît grand comme ça mais ce sera très rapide.

- Le ma...attends là tu veux dire que la demeure...,elle réfléchis un moment, ... non plutôt le château là bas c'est ta maison?

- N'exagère pas, ce n'est pas un château c'est un modeste manoir Écossais que mon mari à eu pour presque trois fois rien à l'époque.

- Fenella, tu me cache une vie antérieure ou ton mari à 200ans ? Ce n'est pas possible pour trois fois rien? Cette habitation est magnifique, je vais avoir l'impression de vivre à Versailles !

Ce qui déclencha un rire étonnamment mal à l'aise de son interlocutrice.

- Oui et bien si tu veux bien nous allons commencer notre périple vers ton futur palais, parce qu'il faut quand même traverser tout le parc pour y accéder, ce qui est je te l'accorde tout de suite moins joyeux. Dit-elle en voyant la mine déconfite de son invitée, qui fixait ses lourdes bagages d'un regard désespéré.

- Ne t-en fait pas pour ça j'enverrais mon gendre les chercher, aller viens la rassura-elle en lui agrippant le bras avant de se diriger vers le manoir.

   Après une longue marche de 15 minutes, elle terminèrent enfin par gravire les marches du dernier escalier qui menait à la porte d'entrée, on aurait dit un pont-levis, étant donner la taille gigantesque et les chaînes qui la retenait au mur du manoir.

Holly stupéfaite, observait partout, puis fût surprise de voir Fenella sortir une toute petite clé de son sac pour ouvrir la porte, elle sourit discrètement mais ne dit rien, et suivit son hôte à l'intérieur.

 

  Il faisait très sombre à l'intérieur, Holly dû plisser un peu les yeux pour y voir plus claire, et lorsqu'elle s'habitua à la pénombre la lumière, illumina l'entrée, un spectacle étonnant s'offrit alors devant ses yeux ébahis. L'obscurité avait laissée place, à un hall d'entrée radieux, avec des murs d'une incroyable blancheur parfois croisés par des poutres en bois, la pièce était ornée de vieux meubles d'un style très anglais avec des chandeliers et des bougies partout. On sentait le bois humide, on avait presque l'impression d'être au milieu de la forêt. Holly s'avança timidement, un grand escalier séparait le hall en deux, chacun des côtés semblaient mener à une pièce, Fenella lui fît signe de prendre sur sa gauche, et elles se dirigèrent vers ce qui devait être le salon.

Ce dernier était beaucoup plus illuminé, pas besoin de bougies ou de chandelier, bien qu'un lustre géant était accroché au plafond, une baie vitrée de presque 8 mètres de largeur entourai la pièce, on pouvait y observer tout le parc du domaine, dans lequel des enfants étaient entrain de joués.

La pièce était immense et très illuminée, Fenella partit un moment dans une petite pièce située au fond, pour y déposer son manteau. Elle réapparue quelques secondes plus tard,traversa la salon pour atteindre la baie vitrée, qui s'ouvrit au déclenchement de la télécommande prévue à cette effet.

- Et oui, il faut bien une petite touche de modernité,dans tout ce rustique. Dit-elle, en réponse au regard surpris de son invitée.

A son déclenchement, la grand vitre s'ouvrit libérant l'accès à une terrasse majestueuse.

Holly s'avança, afin d'observer le parc qui entourait le domaine. La terrasse était entièrement recouverte de dalles grises et beiges et donnait sur l'escalier qu'elles avaient empruntées pour atteindre la porte d'entrée. Soudain un sifflement sorti Holly de son observation, Fenella tentait visiblement d'interpeller les enfants qui jouaient sur le domaine, mais ceux-ci n'entendaient pas,

elle siffla donc à nouveau entres ses doigts, ce qui fit sourire Holly. La vieille dame, malgré son âge avancé avait certaines réactions très surprenantes pour son âge ce qui amusait beaucoup la jeune fille et l'aidait à se sentir plus à l'aise. Un deuxième coup de sifflet, plus imposant interpella les enfants, qui accoururent bruyamment vers la terrasse, leur petit groupe s'arrêta au bas des escaliers et seul deux d'entre eux gravirent les escaliers, et se présentèrent devant Holly.

- Karl, Sandy je vous présente Holly c'est la jeune demoiselle dont je vous ai parlé qui s'occupera de vous cet été.

Allons approchez vous, ne faîtes pas vos timides ça n'est pas polis de ne pas se présenter, elle ne vas pas vous manger.

Pas plus à l'aise avec les enfants qu'avec les adultes, Holly tenta comme une vague approche vers les deux petites têtes brunes qui se bousculaient pour ne pas être le premier à parler.

- Bonjour, vous deux, vous pouvez approchez je ne mords pas, j'espère en tout cas, que vous aimez vous amusez parce que moi je compte bien profitez de cet été pour faire plein de jeux.

Après avoir esquissé un vague sourire, le petit garçon s'avança timidement vers elle, et lui fit signent de se rapprocher, elle se baissa pour se mettre à sa hauteur.

- Moi si tu veux, je connais plein de jeux très amusants dit-il d'une voix espiègle puis il reparti en rigolant vers la petite fille.

Cette dernière se recoiffa légèrement les cheveux, s'avança de deux pas et pris un ton solennel :

- Moi je m'apelle Sandy, j'ai 8ans,mais j'en aurais 9 dans trois mois, j'aime parfois m'amuser mais surtout faire de la musique j'espère que tu sais joué d'un instrument. Et lui c'est Karl mon petit frère, il n'a que 6 ans mais parfois il peut faire plus mûre que son âge.

Le ton et la posture adoptés, par Sandy firent sourire leur nouvelle baby-sitter . La petite fille poursuivi:

- Je suis ravie de votre arrivée dans notre maison et j'espère que vous vous plairez ici.

L'accent avec lequel elle s'exprimait ne s'entendait presque pas, son français était presque parfait, à la fin de son discours elle tourna vivement les talon puis retourna jouer dans le jardin, emportant son petit frère avec elle.

- Ils sont très gentils tu verras.

- Ils parlent français?

- Oui ma fille a voulu profiter des origines, françaises de notre famille, pour apprendre la langue de Molière à ses enfants, ce que je trouve favorable à leur culture personnelle, mais je dois avouer que cela fait plusieurs jours que je les entraînent pour être sûr que tu les comprennent dit-elle en riant.

- Ah c'est gentil, mais je peux parler anglais ça ne pose aucun problème , bien au contraire.

- Tu t'arrangera avec eux je suis sûr que vous vous entendrez à merveille de toute façon, ils

sont un peu froids d'apparence mais très attachants au fond, c'est tout le caractère de leur mère.

Mais suis moi je n'ai pas terminé ma visite guidée, je vais te montrer chambre, suit moi c'est par ici.

 

     Puis elle retourna, à l'intérieur du manoir, suivit d 'Holly, traversa le salon, elles arrivèrent directement dans l'autre pièce séparée par l'escalier dans l'entrée, c'est à dire la cuisine. Cette dernière comme le reste de la maison était immense, avec un équipement étonnamment moderne, mais un style toujours très anglais. Puis elles regagnèrent l'escalier principale pour visiter le premier étage, Fenella montra sa propre chambre au fond du couloir et celles des enfants à son opposé, puis enfin elle ouvrit une porte dont le bois venait juste d'être poncé et ornée de dorures baroques.

 

- Voilà, celle-ci c'est ta chambre, avec vue sur notre petit village là bas. Je te laisse t'installer et te reposer, si tu veux dormir un peu je comprendrais, pour manger un morceaux tu n'a qu'à descendre à la cuisine tu sais où c'est maintenant, tu est ici chez toi.

Elle sortir et referma doucement la porte. Laissant Holly seul face à cette grande pièce, elle aperçu ses bagages posées sur le lit. Sa chambre était de taille modeste, avec un grand lit à baldaquin, un bureau en dessous de la fenêtre , et une armoire qui faisait trois fois la taille de celle qu'elle avait en france. Elle s'allongea sur le lit sans même prendre le temps de défaire ses valises et les mains derrière la nuque,elle observa sa nouvelle chambre, puis ferma doucement les yeux laissant la fatigue du voyage et de toutes ses nouvelles émotions prendre le dessus...

- Tu crois qu'elle dort?

- Bien sûr qu'elle dort tu vois pas que ses yeux son fermés, et qu'elle respire profondément.

Holly entrouvrit les yeux , et aperçut deux petite têtes brunes, assis sur le rebord de son lit, qui la regardaient avec curiosité.

- Comme il est déjà tard et que tu ne te réveillai pas , mamie m'a demander de te déposer ton plateaux repas sur le bureau au cas où tu ai envie de manger quelque chose, dit le petit garçon.

- Et comme il ne sait pas être discret et qu'il est bien trop curieux, il a voulu te réveiller.

- Nan c'est pas vrai ! Je voulais remettre ta couette sur toi, mamie elle fait toujours ça pendant que je dors.

- Arrête un peu t'es curieux c'est tout

- Nan c'est pas vrai

Les deux enfants commençaient à se chamailler , Holly se relève doucement regarde l'horloge il était 20h du soir, elle avait au moins dormit pendant 3 heures, voyant que les enfants ne se calmaient pas, elle s'assit sur le lit de manière à se retrouver entre eux.

- Arrêtez de vous battre enfin, ça ne vaut pas la peine, c'est bien d'être curieux dans la vie et puis tu as bien fait de me réveiller.

Elle se lève, se dirige vers le plateaux repas, les deux enfants de bougeait pas.

- Vous en voulez un bout? Dit-elle en tendant un morceaux de sandwich au poulet.

- Ouiiii s'exclamèrent ils en chœur.

  Fenella traverse le couloir,puis un bruit au fond du couloir retint son attention, arriver derrière la porte d'Holly elle pousse discrètement la porte et aperçois Sandy et Karl allongés de part et d'autres de leur nouvelle baby-sitter entrain de regarder la télé et grignoter un morceaux de sandwich. Elle referma la porte, puis laisse échapper un soupir de soulagement, ses petits-enfants allaient être entre de bonne mains, elle allait pouvoir s'occuper de son problème soudain, l'horloge sonna 22heures, un courant d'air fît claquer la porte de sa chambre. De son côté, Holly n'entendait plus un bruit dans la maison, les enfants s'étaient endormit elle décida alors de les porter chacun d'entre eux dans leur lits respectif. En libérant ses bras de l'étreinte du petit garçon elle , porta tout d'abord Sandy jusqu'à son lit, puis déposa Carl doucement dans le sien, ce n'était pas si dur de s'occuper d'enfants après tout , ça pouvait même être très plaisant. En refermant la porte de la chambre de Carl, un bruit brisa le silence qui regnait dans la maison, Holly se retourna puis tndit l'oreille une douce musique résonnait dans le couloir , on aurait dit que quelqu'un jouait du piano, soudain la musique s'arrêta elle sentit un courant d'air frais sur sa peau, qui paraissait venir de la pièce juste à côté de la chambre de Fenella, la porte était entre-ouverte. Elle s'avança dans le couloir, et une forte odeur d'encens lui piqua le nez, elle s'avança encore plus , puis ouvrit la porte.

19 février 2011

Chapitre 1: un peu d'aventure de fait pas de mal

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A écouter

Le 27 juin 2010, au soir Holly claqua la porte d'entrée avec joie et enthousiasme en s'écriant :

« TERMINER, finit les examens, je vais enfin pouvoir m'aérer un l'esprit ». La période charnière des partiels de fin d'année étant passé elle allait maintenant commencer un un travail d'été dans l'entreprise d'assurance ou travaillait ses parents, du moins c'est ce qui était prévu depuis déjà trois mois. En jetant son sac de cours sur le lit, elle fît tomber une lettre sur le sol de sa chambre après l'avoir ramassée elle remarqua les étranges dessins qui ornaient la feuille de papiers, on aurait dit des petits signe celtiques, qu'on utilisent souvent comme modèle pour faire les tatouages. Puis elle se mit à lire:

 

Dear Holly,

 

Tout d'abord je m'excuse pour les fautes d'expressions. Au manoir où j'ai malheureusement beaucoup à faire depuis le départ de mon mari. La semaine prochaine mes petit-enfants sont de séjour chez moi pour tout l'été et j'aurais grand besoin d'une aide pour s'occuper d'eux pendant ses deux mois. Après en avoir parlé avec ta mère, j'éspère que tu accepterais de venir passez l'été au manoir bine sûr tu seras rémunérée, ce sera l'occasion de découvrir un nouveau pays, je sais que tu étudie les langues étrangères, mon magnifique pays devrait te plaire, je laisse mon adresse mail, et j'espère une réponse positive de ta part impatiemment.

Cordialement Fenella.

 

 

Holly fixa la feuille un moment , puis s'assit sur son lit ouvrit son ordinateur portable et commença à rédiger un mail à sa nouvelle correspondante Ecossaise. Fenella Clifford était une vieille amie de sa mère, à qui Holly avait eu l'occasion de faire découvrir Paris il y a quelques mois lors d'une visite . Fenella était une dame Ecossaise, d'une soixantaine d'années,mais très moderne,que son mari avait abandoné pour une de leur servante plus jeune. Holly l'appréciait particulièrement pour son caractère enjouée et excentrique. Elle commenca à taper sur les touches, le regard fixé sur son écran: « Chère Fenella, je suis très touchée de cette invitation malheureusement je ne suis pas disponible cet été, je serais pourtant ... » elle s'arrêta net, releva les yeux vers la lettre puis réfléchis un moment à voix haute.

« C'est bien vrai ça, je serais pourtant ravi de pouvoir m'échapper un peu d'ici et changer d'air ».

Qu'avait-elle à perdre? Rien bien au contraire tout à y gagner, un job, des vacances, de nouvelles têtes, en somme tout le changement dont elle avait besoin. Elle ouvrit une nouvelle page internet puis reprit : « Je serais plus que ravie de vous portez secours cet été, donnez moi un ou deux jours pour prévenir mes parents, trouver un billet d'avion et faire mes valises et je suis à votre diposition.

Bien cordialement Holly ».

 

        C'était fait, aussi sec elle avait appuyer sur « envoi », de peur de vouloir faire marche arrière si elle réfléchissait trop. Après avoir longuement parler à ses parents, qui avait accepté sans difficultés après une longue conversation avec Fenella au téléphone qui avait promis de bien s'occuper de leur filles, il fût convenu que la jeune fille après s'être excuser auprès de son employeur d'été prévu, prendrait l'avion pour l'aéroport d'Édimbourg où Fenella l'attendrais le lundi qui suivrait., après tout à 19 ans la jeune fille était tout à fait capable de se débrouillé seule et un peu d'aventure, aiderai peut être àla sotir de son caractère solitaire et de sa timidité. Holly passerait donc son été en Ecosse, la vieille de son départ, elle avait beau se retourner dans son lit à la recherche de la meilleure position possible pour s'endormir, le sommeil ne venait pas, après l'excitation du départ, les inquiétudes et les angoisses commencaient à prendre le dessus.

        Pourquoi avait-elle accepté de passer deux mois dans un pays qu'elle ne connaissait pas ? Chez des gens qu'elle ne connaissait pas ? Et si elle ne se faisait aucun amis durant son séjour? Qu'allait elle faire? « Et puis le baby-sitting c'est pas vraiment mon truc ? » souffla-t-elle en brisant le silence de la maison endormie. Quelques heure après avoir fixé le plafonds avec angoisse, morphée eu enfin raison de la jeune fille ...

 

« Mesdames et Messieurs merci de bien vouloir relever votre siège et vos tablettes, accrochez vos ceintures nous allons commencer notre descente vers Édimbourg ». L'avantage de ne pas avoir dormit de la nuit , c'est qu'elle avait passée le vol entier à dormir la tête appuyée contre le hublot, et n'avait pas vu le temps défiler. Après avoir longuement bataillé pour récupérer ses valises, elle se dirigea vers la sortie, tout en cherchant Fenella du regard.

 

« Ouhou Holly » se fit retentir à travers la foule qui se préssait pour être sûr d'être les premiers à prendre un taxi.Holly se retourna et vît la vieille dame, habillé du même chapeau que lorsqu'elle avait visité Paris, et une longue robes à carreaux blanche et bleu recouverte d'un gigantesque gilet de maille noir, elle tenait un parapluie à la main. Holly s'avança timidement, la vieille dame la prît dasn ses bras et lui pinca gentiment les joues.

                   - Je suis tellement contente de te voir chez moi, merci d'avoir accepté mon offre tu verras tu ne le regretteras pas, tu à fait bon voyage j'espère?

- Pour tout vous dire j'ai dormir pendant tout le vol je n'ai rien vu passer , moi aussi je suis contente de vous revoir.

- Bon, ce n'est pas parce que tu es mon employée cet été qu'on se doit d'être aussi solennel hein, par pitié tutoie moi. Aller viens j'adore mon pays malheureusement tout ce qu'on dit sur la météo n'est pas un cliché absurde et je crois que la pluie de va pas tarder à se montrer.

 

Elle attira la jeune fille jusqu'à sa voiture garée sur le bas côté complètement en biais. C'était une très vieille mini, de couleur verte cabossée de presque partout ce qui fît sourire Holly, se qui fît moins sourire en revanche c'est la façon dont Fenella la conduisait, on aurait dît qu'elle venaut d'avoir son permis, ou qu'elle ne voyait pas bien la route. LE chemin fût rythmée de grosse secousse et de longues hésitations de la vieille dame a s'engager sur les voies de circulation, parfois même elle se penchai tellement vers l'avant pour lire les panneaux qu' Holly cramponnée à son siège eût un doute sur le fait qu'elle ai vraiment son permis.

                    - Détends toi, ma petite n'ai pas peur, c'est juste que comme tu peux le voir je ne sors pas beaucoup de ma campagne alors la voiture est un moyen de transport que je n'utilise pas souvent. Dit-elle en rigolant

- Oui effectivement c'est ce que je vois, j'espère juste pouvoir profiter un peu de mon séjour avant de mourir sur les routes Écossaise plaisanta t-elle.

Puis elles se mirent à rire, ce qui détendit aussitôt la jeune fille qui commença alors à observer le paysage qui s'offrait à elle, après quelques heures de route les maisons, les immeubles et les usines de la ville avait laissé place à de grandes montagnes et des plaines infinies, recouvertes de pâturages verdoyant, parfois même elle pouvait apercevoir quelques cascades ancrées dans les roches lointaines, tout était grand et silencieux, il y avaient des arbres à perte de vus cela promettait un dépaysement totale.

- Bienvenue dans ma vallée s'exclama la vieille dame.

- C'est vraiment magnifique, ça va me changer du stress, de la pollution et du cycle infernale que nous fait subir Paris à chaque secondes.

- Je savais que ça te plairait, j'espère seulement que tu ne vas pas t'en lasser trop vite, beaucoup de jeunes de mon village donnerait tout pour habiter où tu vis, j'ai hâte de te présenter à tout le monde, tu verras c'est un petit village très sympathique j'ai beaucoup parler de toi tous le monde t'attend de pied ferme.

Sur ces mots l'inquiétude gagna la jeune fille, « tous le monde », n'était pas une phrase qui l'a rassurait il allait falloir prendre un peu sur soi même, et se rendre le plus sociable et disponible possible, si elle ne voulait pas passer son été toute seule. Pourtant Holly avait hérité du caractère angoissée et réservée de ses parents, à 19ans la jeune fille au cheveux blonds ondulées, était bien trop souvent seule et enfermée entre les quatre murs de sa chambre et cette aventure représentait pour elle un vrai défi.

 

Après avoir traversé un petit village et quelques habitations, la mini verte avait commencée l'ascension d'un petit chemin de colline peut à peu le sommet de celle-ci ce découvrait et laissa apparaître une plaine majestueuse, entourée d'une forêt gigantesques et au milieu de laquelle se dressait un habitation remarquablement grande. La voiture s'arrêta net, sortant violemment Holly de sa contemplation.

19 février 2011

Petite présentation

Coucou à vous, si vous passez par là,

Un jour,je me suis dit pourquoi ne pas utiliser cette imagination débordante pour écrire une petite fiction.

Alors voilà :

C'est l'histoire d'Holly Stone une jeune étudiante bien plus que banale, qui va se retrouver malgré elle dans une

aventure fantastique en passant à travers le miroir, alors vous aussi j'espère que vous aurez envie de passer à travers ce miroir

je vouslaisse découvrir au fil des articles ce qui s'y trouve. Bien sûr j'attend vos commentaires avec impatience.

Découvrez la playlist holly stone avec Danny Elfman
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Holly Stone et la malédiction des quatre lunes
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